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Départ plus que matinal de 40 Sochaliens en direction du Val de Loire.

Ce voyage leur a permis, du 10 au 13 septembre 2013, de découvrir la région de Saumur de façon insolite, tout en profitant de la  douceur angevine.

Châteaux, abbaye, champignons, habitat troglodyte, gastronomie locale, prestige de la tradition équestre du Cadre Noir, vignoble, la faune et la flore de la Loire à bord d’une toue en bois…  le Saumurois n’aura plus de secrets pour tous ces retraités.

Une agréable façon d’aborder l’automne.

Michèle CHARBONNIER

 

20 septembre 2013

Accompagnateurs : Pierre RADICE & Michel BRISEBARD

Très beau temps – Marche de 10 km – Dénivelé : 100 m – Durée : 3 h 30  – 37 personnes dont 2 membres du CA

Un vrai temps d’été. Nous démarrons de la mairie de Chenebier sous la conduite de Pierre et Michel.

Nous traversons le village, réputé pour ses nombreuses fontaines, en direction de la forêt. Elle nous préserve de la chaleur. Des panneaux nous font découvrir de nombreuses légendes de la Fée et les richesses locales : l’eau, le bois, le fer…  Nous longeons de nombreux étangs avec de superbes chalets. La faune et la flore rappellent à beaucoup le merveilleux site des mille étangs.

Plusieurs arrêts sont nécessaires pour nous désaltérer. Nous arrivons à nouveau aux abords de Chenebier que nous contournons par un sentier très agréable, les yeux remplis de belles images comme en témoignent les photos. Nous nous arrêtons ensuite devant le mémorial érigé en mémoire d’un massacre de la dernière guerre.

En passant à nouveau devant quelques étangs, nous rejoignons notre point de départ, heureux d’avoir passé ensemble ce très bel après-midi magnifiquement ensoleillé.

Nous vous donnons rendez vous pour la prochaine randonnée : MARDI 24 SEPTEMBRE 2013 : CIRCUIT DU FORT LACHAUX

 –  Lieu de RDV : Parking du CORA MONTBELIARD (25200)

–  Heure RDV 13 h 30 – Départ 13 h 45

–  11 km – Dénivelé : 150 m – Durée : 3 h 30

(Prévoir une lampe de poche pour la visite du fort)

 Nous vous disons à bientôt, Raymond PRATI

Photos : Claude CUPILLARD  –  René  VERMOT-DES-ROCHES

10 septembre 2013

Les dernières nouveautés de la marque PEUGEOT ont été dévoilées le jeudi 18 juillet dans les salons de l’Europe du musée de l’Aventure Peugeot. Gaëtan Demoulin et son  équipe ont présenté quatre véhicules : la 208 GTI, le cross-over 2008 et deux 308.

Cette manifestation a rassemblé 280 fidèles de la Marque toujours intéressés par les nouveautés. Bon nombre de questions ont été posées aux intervenants. L’équipe VCG était sur place pour renseigner les futurs acheteurs.

La 208 GTi est une version distinctive de la gamme 208 et contribue ainsi à la montée en gamme de PEUGEOT. Ses spécificités extérieures (calandre, becquet, double canule d’échappement, marquage GTi en custode arrière) et intérieures (sellerie, volant, couleur rouge sur différentes pièces et surpiqûres rouges)  font ressortir un typage chic et sportif. Ce tempérament se confirme aussi à la conduite avec des performances remarquables tant en accélération qu’en sonorité et tenue de route.

La 2008 est le nouveau petit crossover de PEUGEOT. Il se distingue par un style affirmé et élégant mais aussi par une présentation intérieure soignée. Il apporte au quotidien une position de conduite plus haute que dans les berlines, une vraie convivialité avec son toit panoramique ou son pavillon éclairé. Sa modularité à l’arrière ravira ceux qui sont en quête de volume et de praticité. Sa gamme de moteurs permet des performances record en termes de consommation dans le segment. Sa gamme de prix lui garantit un très bon positionnement. Avec plus de 35000 commandes enregistrées, les objectifs étaient dépassés.

La nouvelle PEUGEOT 308 vient remplacer l’ancienne génération lancée en 2007. Si le nom ne change pas pour inaugurer une nouvelle stratégie d’appellation de la Marque, tout le reste change. En premier lieu, pour apporter à 308 une excellente efficience, la nouvelle base EMP2 et une silhouette plus basse et plus courte réduisent la masse de 140 kg induisant des gains très nets en matière de consommation.

Le PEUGEOT i-Cockpit qui désigne le combiné Tête Haute, le petit volant, l’écran tactile de 9,7 pouces et la console haute apporte à 308 un poste de conduite innovant et intuitif. Les choix faits en matière de Design, de conception et de matériaux permettent de faire un saut très important dans le domaine de la Qualité et de positionner la nouvelle PEUGEOT 308 au meilleur niveau de son segment. Nombreuses sont les aides apportées au conducteur : accès démarrage main libre, surveillance d’angle mort, caméra de recul, régulateur de vitesse actif, alerte risque collision, freinage automatique d’urgence…

La gamme de moteurs et de prix est communiquée depuis le 15 juillet à l’occasion de l’ouverture des commandes. Son lancement commercial débutera en France à partir du 12 septembre, la présentation officielle ayant lieu au salon de Francfort.

Claude FRESCAL

Photos : Claude Cupillard

10 septembre 2013

Accompagnateurs : René VERMOT-DESROCHES  & Pierre RADIC

Temps agréable –  Marche de 15 km – Dénivelé : 600 m – Durée : la journée – 35 personnes dont 4 membres du CA

Ce mardi matin 25 juin 2013 un peu de fraîcheur mais le temps est agréable. Nous quittons le parking de la Combe Saint Pierre (altitude 869 m) pour traverser la forêt de Charquemont et arriver au belvédère de la Cendrée à 964 m.  Nous profitons de la vue sur la vallée du Doubs, au niveau du lac du barrage du Refrain et Biaufond, à droite sur les roches et Fournet-Blancheroche, et la Suisse en face.

Nous descendons par le sentier dit « Couleuse Petit » et passons devant la Grotte des Moines pour arriver sur la route EDF du Refrain (altitude 732 m) jusqu’à l’usine hydroélectrique. Altitude 550 m, quelques belles tables et des bancs : la pause repas est la bienvenue.

Après le casse-croûte : visite de l’usine, de l’extérieur car elle est actuellement en arrêt pour la maintenance des canalisations et des conduites forcées. De nombreuses entreprises y travaillent.

Nous attaquons la montée vers les Échelles. Le groupe des 25 arrive au sommet d’où le Belvédère offre une vue magnifique sur les gorges et l’aiguille de la Mort. Nous poursuivons la montée vers les coteaux, rencontrons de beaux ânes. Après un passage au refuge des Cotes,  nous arrivons au restaurant du Bois de la Biche situé à 922 m d’altitude où de nombreux clients terminent leur repas.  Nous traversons à nouveau une partie de la forêt de Charquemont pour retrouver le parking de la Combe St Pierre après cette belle journée, très appréciée par l’ensemble du groupe.

Nous vous donnons rendez-vous pour la prochaine randonnée : Jeudi  5 Septembre 2013 pour le Circuit: SENTIER des ÉTANGS et  des FONTAINES   

10 km – Dénivelé 100 m  – Durée : 3 h 30    

Lieu de RDV : Parking de la Mairie de CHENEBIER (70400)

Heure RDV 13 h 30  –  Départ 13 h 45

Bonnes vacances et à bientôt, Raymond Prati.

Photos : Claude Cupillard, Gilles Patois, René Vermot-Desroches

10 juillet 2013

49 personnes avaient choisi de se rendre dans notre capitale comtoise afin de découvrir un peu de notre histoire passée ou récente.

Avec le musée du Temps, nos guides ont fait revivre l’époque du palais Granvelle, de la Franche-Comté non française, de la Flandre, de l’Espagne et bien sûr de l’horlogerie.  Nicolas Perrenot de Granvelle (1486/1550) fut avocat, conseiller du parlement du comté de Bourgogne et homme de confiance de l’empereur Charles Quint. De magnifiques tentures retracent les grands moments de la vie de ce monarque.

La capture du temps et le besoin de précision y sont montrés principalement par les évolutions successives des mouvements d’horlogerie qui ont amené à la montre à quartz (32 000 Hz) puis à l’horloge atomique au césium 133 (9 192 631 770 Hz). 

Après ces deux heures d’histoire et de mécanique, la promenade en bateau sur la boucle du Doubs a permis de reposer nos jambes et de savourer un excellent repas franc-comtois tout en découvrant, Besançon côté berges.

L’après-midi nous amenait dans un autre monument de Besançon : l’usine Maty. Sécurité oblige et malgré le déjeuner, nous sommes restés sur notre faim. En effet, il n’est plus possible d’assister à la fabrication des bijoux. Nous n’avons vu qu’un aperçu du savoir-faire de la société : l’automatisation des moyens et la logistique mises en place pour que le produit commandé par le client arrive à la bonne adresse dans d’excellentes conditions.  Le père de cette société est M. Gérard Mantion (1927/2003). C’est en 1951, âgé de 24 ans, qu’il eut l’idée de vendre des montres par correspondance. Son père qui ne croyait pas à cette aventure lui ayant interdit d’utiliser le nom de Mantion, déjà connu par ailleurs, c’est la contraction de ce nom qui sera connue dans le monde entier.  A l’étage se trouve le musée, malheureusement non climatisé. Cette visite, un peu courte, retrace l’histoire de Maty de ses origines à nos jours.  Le magasin de vente, climatisé, a permis à ces dames de se lâcher façon carte bleue.

Serge Laporte

10 juillet 2013
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