Cette présentation s’est tenue dans le salon de l’Europe du musée de l’Aventure Peugeot le 4 juin dernier. En parallèle une exposition de voitures de la marque s’est déroulée sur le parking avec la participation du bureau de ventes voitures de Sochaux. Les véhicules C4 Picasso 5 et 7 places, une DS3 cabrio, une DS5 Hybrid et une C4 Cactus.
La présentation a été faite par Alain Joseph de la synthèse client Citroën.
En introduction ont été rappelées les performances de la marque sur le marché Français et Chinois en annonçant aussi la création en Chine de la marque DS avec sa propre usine située à Shenzhen et son propre réseau de distribution Il en sera de même en France dans un proche avenir.
 La nouvelle C1 :
Rappel : la C1 de première génération a été produite à 780 000 exemplaires dans l’usine de Kolin en République Tchèque.
De style entièrement nouveau et très différencié par rapport aux nouvelles 108 et Aygo, elle sera disponible en 3 ou 5 portes, avec une gamme de teintes attrayantes et la possibilité de personnaliser le véhicule. Du gain en confort avec de nouvelles liaisons au sol, une insonorisation renforcée et un confort d’assises amélioré.
Le véhicule d’une longueur de 3,46 m, un coffre de 196 litres de volume et un rayon de braquage de 9,80 m (parmi les plus petits du marché). Il peut être découvrable. Les consommations vont de 3,8 à 4,3 litres aux 100 km pour des émissions de CO2 de 88 à 99 gr/km. L’interface est tactile et la voiture peut être connectée. Elle dispose de caméra de recul, de l’aide au démarrage en côte, le démarrage main libre et « le stop and start ».
 La C4 Cactus
Décliné suivant le nouveau positionnement de la marque, elle dispose d’un design original et des éléments graphiques forts tels que le « air bumps ». Déclinée en 10 teintes, 4 couleurs d’air bump et 3 univers intérieurs. Véhicule convivial avec une grande habitabilité intérieure, un design intérieur innovant et un coffre de 358 litres.
Une architecture intérieure innovante avec l’air bag passager implanté dans la traverse de pavillon afin de libérer de la place pour une grande boîte à gants; une interface tactile avec toutes les fonctions regroupées sur un grand écran, avec les fonctions « park assist», camera de recul, un système d’essuie glace par arrivée du liquide sur les balais et un toit en verre spécialement traité qui permet d’éviter l’installation d’un rideau d’occultation.
Toutes optimisations ont permis de gagner 225 kg : 200 kg sur la plate-forme par l’utilisation de matériaux tels que l’aluminium les aciers à haute limite élastique et la soudure par le laser et 25 kg grâce aux options techniques telles que le toit panoramique, les vitres arrières entrebaillâbles, la banquette arrière en un seul morceau et le nouveau système d’essuies glace. Les consommations de 3,4 à 3,5 litres aux 100 km pour la version diesel et de 4,3 à 4,7 litres pour la version essence.
Deux modèles fabriqués en Chine spécifiquement pour ce marché et développés par le centre de design de Shanghai ont conclu cette présentation. Ils ne seront pas diffusés en Europe :
DS5 LS est un tri-corps, dérivé de la DS5 connue en France, avec une dimension de 4,70 m en longueur, 1,5 m en hauteur, 1,84 m en largeur et un empattement 2,70 m. Les motorisations de 136 à 200 cv avec moteur essence uniquement.
DS6 WR a été dévoilée au salon de Pékin ce printemps, elle sera commercialisée en fin d’année. Ses dimensions : longueur 4,55 m, largeur 1,86 m, hauteur 1,61 m et un empattement exceptionnel de 2,73 m.
Les motorisations exclusivement essence 160 et 200 cv en boîte automatique.
Claude FRESCAL
Photos : Claude CUPILLARD & Gilles PATOIS
Du 24 au 31 mai 2014Â
Une quarantaine de participants était au rendez-vous de cette agréable semaine de découverte de l’Auvergne.
Un premier arrêt à l’Abbaye de Cluny, un déjeuner au Moulin marin de Lapalisse et nous atteignons notre destination : l’Hôtel des Bains à Vic sur Cére, qui fût ville thermale reputée.
Après une dégustation de produits du terroir (cantal et salers), nous suivons les gorges du Lot pour nous rendre à Conques, située sur le chemin de Compostelle et malheureusement… sous la pluie. Visite de Figeac, ville natale de Champollion, avant d’apprécier un déjeuner champêtre, à l’abri sous une ancienne halle. Nous passons l’après-midi à Rocamadour.
Nous découvrons le château d’Anjony et visitons le village de Salers. Nous montons jusqu’au Col du Pas de Peyrol, haut lieu du cyclisme situé à 1 582 m. Après le repas pris dans un refuge de montagne, certains en profitent pour gravir le Puy Mary (1 787 m).
Saint Flour et le viaduc de Garabit étaient également au programme, sans oublier les soirées à thème : diapos, loto, quiz, karaoké et casino, ni la soirée auvergnate.
Nous n’avons pas vu les journées passer.
Photos et texte Michel ARSAC
Accompagnateurs : Jean-Paul STECKMEYERÂ – Pierre RADICE
20 Mai 2014 – Temps très beau et chaud – Marche de 11 km – Dénivelé 200 m – Durée : 3 h 00 – 37 personnes dont 3 membres du CA
 Par un beau et chaud soleil nous quittons le parking du cimetière d’Héricourt sous la conduite de Jean-Paul et Pierre.
Nous empruntons la liaison GR59-GR5 en direction du Mont-sous-Vaudois puis un sentier dans la pâture (une liaison Saint-Jacques de Compostelle que nous suivrons un bon moment). Un passage en forêt nous rafraîchit avant d’accéder au Fort du Mont Vaudois, le point culminant de notre randonnée.
Ce fort est très visité du fait de son intérêt historique. Aussi, nous marquons une pause pour entendre Jean-Paul nous décrire le lieu et en expliquer l’histoire.
La redescente sur Héricourt est ponctuée par quelques arrêts bien mérités pour se désaltérer avant de rejoindre notre point de départ.
 Nous vous donnons rendez-vous pour la prochaine randonnée : Jeudi 19 Juin 2014 Circuit : La GOUTTE des SAULES
– Rendez-vous au parking de la Mairie de Plancher-les-Mines (70290) Ã 9h15
РD̩part : 9 h 30
РPour14 km РD̩nivel̩ : 550 m РDur̩e : la journ̩e
РRepas tir̩ du sac
 Nous vous disons à bientôt,
Raymond Prati
Photos : Claude Cupillard – René Vermot-Desroches
Accompagnateurs : René VERMOT DESROCHES  & Albert MAGNANI
Temps tr̬s agr̩able РMarche de 14 km РD̩nivel̩ : 400 m РDur̩e : la journ̩e РRepas tir̩ du sac Р30 personnes dont 2 membres du CA
Mardi 6 mai, le temps est idéal à Vaufrey pour prendre le départ de cette randonnée difficile, sous la conduite de René aidé par Albert.
La montée est raide pour atteindre Montursin et la Crête. Nous traversons le village, d’où quelques photos d’une envolée de pigeons blancs et autres volatiles sont prises, puis nous continuons de monter jusqu’à la ferme de la Vaux. Nous longeons un chemin qui se transforme en lit de torrent. Il nous conduit à la ferme de Montavon et ses animaux : un régal pour les photographes du groupe.
Le poste de douane de Réclère passé, nous arrivons près des célèbres grottes et du parc préhistorique. Un endroit aménagé s’offre aux randonneurs pour profiter d’une pause et du casse-croûte. Après ce moment convivial, quelques-uns se rendent à l’entrée du parc, très accueillante et bien documentée.
Nous repartons et arrivons vers la borne 470 pour admirer le panorama que René nous commente.
Nous empruntons alors un passage aménagé, en très forte déclivité, pour arriver aux ruines du château de Montjoie, un site classé du XIIIe siècle en cours de restauration. Avant d’arriver à la Chapelle de Montjoie, René nous conte l’histoire des lieux. Ses explications sont très intéressantes : la Momie de Ste Claudine enterrée en 1612, découverte en 1685, est conservée dans un coffre à l’intérieur de la Chapelle.
Tout en ln longeant le Doubs, nous arrivons à Vaufrey pour retrouver notre parking de départ. Certains sont quelque peu fatigués mais tous sont ravis par cette jolie balade très instructive, difficile, compensée par d’enrichissantes découvertes.
Prochaine sortie :Â MARDI 20 MAI 2014
Circuit : Le Tour du MONT VAUDOIS (70)
– Rendez-vous à 13 h 30 au parking du Cimetière Héricourt Porte Ouest (70400)
РD̩part : 13 h 45
РPour11 km РD̩nivel̩ : 200 m
РDur̩e : 3 h 30
 Nous vous disons à bientôt, Raymond PRATI
Photos : Claude CUPILLARD & René VERMOT DESROCHES
Une centaine de personnes a assisté à cette conférence du 24 avril 2014 animée par deux spécialistes du Groupe : Bernard Swoboda pour la partie moteur EB et Jean Moreau pour la partie plate-forme EMP2.
Le nouveau moteur essence « EB »3 cylindres
Ce nouveau moteur essence « EB » 3 cylindres a été développé pour répondre aux exigences environnementales de réduction d’émissions de gaz à effet de serre en réduisant les consommations, en gagnant en Performance, masse, encombrement et en prix. Ceci dans le souci de l’agrément de conduite, de la modularité du moteur et de son développement à l’international.
Au niveau mondial, il est impératif de réduire les émissions du fait des pénalités que les constructeurs auront à subir en cas de dépassement des normes
Pour 2020 les émissions seront de :
– 95 gr de CO2 pour l’Europe
– 113 gr de CO2 pour les USA
– 119 gr de CO2 pour la Chine
Le Brésil est en cours de définition de sa norme pour cette date.
 La famille EB :
Elle se décline en 2 cylindrées et 4 puissances :
Le moteur EB atmosphérique de 70 et 82 chevaux est produit sur le site de Tremery, lancé en 2012, il équipe déjà les 208 et C3. Le potentiel installé est de 640 000 moteurs par an.
Le moteur EB turbo de 110 et 130 chevaux avec arbre d’équilibrage est produit sur le site de Douvrin. Il équipe les C4 et 308, à partir d’avril 2014 : 208 et, en juillet, C3 et DS3. Potentiel installé de 320 000 moteurs par an.
Le temps de fabrication de ce moteur a été divisé par deux par rapport à son prédécesseur et la surface utilisée réduite de 30 %.
Les gains par rapport au moteur TU en atmosphérique et EP6 en turbo est de 25 kg en masse
La consommation – 25 % par rapport au moteur TU et -18% par rapport au moteur EP6
Un record du monde en consommation a été battu par une 308 avec le moteur turbo : 2,85 l/100 km soit 1 810 km avec un plein et cela sous le contrôle de l’UTAC.
La nouvelle plate- forme EMP2
Une plate-forme est ce que le client ne voit pas mais qui est très structurant pour le véhicule.
Elle participe pour 30 % du prix de revient de fabrication, pour 40 % des pannes et 45 % de la masse du véhicule. Elle est appelée à remplacer la plate-forme inaugurée par la 307 en 2000 et aussi celle du segment supérieur. Elle équipera les remplaçantes de C5 et 508. La décision a été prise en 2007 et l’équipe projet a été constituée.
Actuellement, elle est produite sur les sites de Vigo en Espagne, de Sochaux et ce printemps à Wuhan en Chine.
L’objectif de cette plate-forme est d’avoir de grandes roues aux 4 coins des assises hautes et basses, des voies élargies, un capot moteur abaissé, un porte-à -faux avant compacté, des empattements différents et un plancher d’assise abaissé.
La nécessité est de réduire fortement les émissions de CO2, directement liées à la consommation de carburant.
La réduction de masse de 70 kg a été obtenue par :
– l’utilisation de matériaux innovants tels que l’aluminium , l’acier à haute limite et très haute limite élastique et de matériaux composites,
– l’utilisation des procédés innovants tels que le raboutage, le profilage, l’emboutissage à chaud, l’hydroformage et le laminage à épaisseur variable,
– et utilisation des assemblages par des liaisons laser.
Claude FRESCAL
Photos : Claude CUPILLARD & Gilles PATOIS
