Événements à venir

  • Jardin aquatique Acorus
    23 mai 2024 08:00
  • Rando : Circuit : Musée de la Mine et de la Potasse Kalivie à Wittelsheim (68)
    28 mai 2024 09:00
  • BELLARIA
    2 juin 2024
  • Bellaria
    2 juin 2024
  • Rando : Les vies des Evettes Malsaucy Evette Salbert (90)
    11 juin 2024 13:00

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27 juin 2023

Accompagnateur : André  JANDOT

Temps ensoleillé,  pour 10 km, Dénivelé : 100 m, Durée : 3 heures 30

– Participants : 35

CHÈVREMONT est une commune de 1 615 habitants appelés «les Chèvremontois» et «les Chèvremontoises».

Le départ est prévu depuis le parking du stade pour emprunter le circuit balisé avec des plaquettes sur lesquelles figure un choux.

La première choucrouterie du village était celle des Ets Baillis située vers la gare. Grâce à elle, Chèvremont est devenue la capitale de la choucroute.

En 1929, la choucrouterie Christ s’installe. Elle est reprise en 1942 par la famille Fendeleur.

En 1953, elle se transforme en coopérative gérée par les producteurs. En 1956, un employé décide de s’installer. Il crée «la Chèvremontoise» qui produit jusqu’à 800 tonnes de choux par an.

Sans successeur, il loue son bâtiment et ses terrains à la choucrouterie Claude de Chavannes-sur-l’étang et cesse toute activité en 2007.

Le groupe de 35 randonneurs quitte le parking, traverse le ruisseau du Trovaire et rejoint la D 28.

Après la longue traversée du village (1,5 km), le parcours nous emmène au centre où se trouvent l’école et le collège privé «la Providence», l’école publique, l’église, la mairie, le cimetière.

Après un aller-retour au centre, nous retrouvons la D 28 pour terminer la traversée du village et emprunter «le chemin rural de la Broche» puis arriver au quartier

«le Haut des Contours».

Dans ce quartier, s’est installé un savonnier qui a commencé son activité en 2016. Il a  imaginé une gamme de 6 savons issus de mélanges de corps gras et d’hydroxyde de sodium.

Nous accédons à la plus haute colline du village sur laquelle se trouve une statue de la vierge.

En 1944, les armées alliées avaient fait de Chèvremont un camp retranché en organisant une forte défensive.

Le 19 novembre 1944, selon l’idée de l’Abbé Chiron, les habitants firent le vÅ“u de remercier la Vierge pour la protection du village.

Le 25 novembre, l’occupant avait disparu et la commune fut libérée. Les habitants ont souhaité ériger un monument sur la plus haute colline du village.

La statue a été réalisée à la fonderie du Jura, elle arriva par chemin de fer puis par voitures à chevaux depuis la gare.

Nous passons, ensuite vers «le fort» construit en 1889. Il était armé de 3 canons de 12 et 5 canons revolver pour la défense des fossés.

Il est encore utilisé pour les manÅ“uvres du 35ème régiment d’infanterie de Belfort, raison pour laquelle le site est interdit d’accès.

Pour terminer notre périple, nous passons devant 3 blockhaus (ouvrages militaires défensifs fortifiés de béton) et d’un abri de combat (1908 – 1909) qui se trouvent à proximité du stade.

Photos : René VERMOT DRSROCHES

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Rendez-vous pour la prochaine randonnée :

mardi 5 septembre 2023 à 13 h 15

Circuit : double boucle par l’Étang de l’Autruche et le Faré (90)

RDV parking du Château LESMANN à Roppe (90380)

(Rue du Stade à Roppe : 1ère rue à gauche avant la mairie en arrivant de Belfort)

Départ : 13 h 30

Distance : 12 km

Dénivelé : 200 m

Accompagnateur : André MARCHAND

3 juillet 2023

15 juin 2023

Accompagnateurs : Robert ROSSIN, Jean Paul STECKMEYER guide pour le parcours

Temps : forte chaleur, Marche de : 10 km, Dénivelé : 100 m

Durée : la journée avec visite du mémorial de Haute-Alsace l’après midi

Participants : 24

Dannemarie une commune rurale, chef-lieu de canton de 2 250 habitants situé à égale distance de Mulhouse et Belfort, traversé par la Largue, le canal du Rhône au Rhin et la voie ferrée Mulhouse Paris. Dannemarie a conservé un tissu commercial et artisanal local très dense notamment en centre-ville.

Nous sommes garés derrière un bâtiment d’usine. Les bâtiments en briques (usine et bureaux) ont servi comme Ateliers de filature jusqu’en 1940. De 1940 à 1944, y sont fabriquées des armes et notamment des ogives d’obus. L’ensemble est racheté par la société Japy et devient un entrepôt de machines à écrire. Puis les bâtiments servent d’usine aux cycles Peugeot qui démarrent en 1972 à Dannemarie, ils fabriquent dans un premier temps des vélos puis se spécialisent dans la fabrication des moteurs de scooter 50 cm3 dont la fin est arrivée en 2012. Aujourd’hui le bâtiment abrite le Mémorial de Haute-Alsace : un musée présentant l’histoire de l’Alsace, en particulier du Sundgau, pendant la Première Guerre mondiale.

Départ pour la balade découverte des alentours de Dannemarie. Première visite « le petit « viaduc

La construction de la ligne ferroviaire Mulhouse Belfort Paris (1858) a nécessité la construction de deux viaducs de part et d’autre de Dannemarie qui ont la particularité d’être construits en briques. Celui de Ballersdorf, côté Mulhouse, mesure 390 mètres de long 36 arches et 20 mètres de hauteur. Celui de Retzwiller, côté Belfort, s’étend sur 500 mètres de long 43 arches et 29 mètres de hauteur.

1870 : il a été dynamité par les troupes françaises pour ralentir la progression allemande (à la construction de l’ouvrage, des niches de minage avaient été prévues dans les piles centrales).

Au cours de la Première Guerre mondiale : 2 fois, Dannemarie avait été reconquise dès le 7 août 1914 par les troupes françaises qui en avaient fait un centre névralgique important. Le 26 août 1914, le pont avait été sapé par les troupes françaises pour le rendre impraticable puis reconstruit dans la foulée ; à peine achevé le 30 mai 1915, c’est une salve d’obus allemands de gros calibre qui a coupé le pont. Bien plus endommagé que par une sape « propre Â», il n’a été reconstruit qu’après-guerre.

Au cours de la Seconde Guerre mondiale et durant la reconquête alliée sur le front de l’Ouest, les troupes allemandes ont endommagé à nouveau ce pont.

La balade continue à travers les champs jusqu’à un magnifique point de vue sur le Sundgau et les Vosges avec table d’orientation. Le chemin nous conduit ensuite à la chapelle Sainte de Barbe près de Altenach, mentionnée dès 1302 en tant qu’église paroissiale. Fondée probablement par les seigneurs d’Usuel, elle constitue un lieu de pèlerinage très fréquenté en raison de la source Sainte-Barbe, dont les eaux sont réputées guérir certaines maladies de la peau et des yeux. La chapelle est pillée vers 1774 par les Bourguignons et reconstruite dans son apparence actuelle en 1810.

Nous engageons maintenant le retour pour arriver près de Dannemarie. Après le passage sur le pont qui surplombe la voie ferrée, avec une vue sur la gare rénovée en 2010. Cette gare n’a pas de guichet de vente de billets, mais seulement des automates.

Nous passons devant le cimetière militaire de Dannemarie qui possède une nécropole nationale avec près de 400 soldats : 250 en tombes individuelles et 139 répartis dans 2 ossuaires.

De retour au bâtiment du Mémorial, nous allons suivre la visite guidée du site.

Le Mémorial de Haute-Alsace est un musée présentant l’histoire unique de l’Alsace, et plus particulièrement du Sundgau, pendant la Première Guerre mondiale, à travers des faits locaux tels que le drame de Joncherey ou le Kilomètre Zéro. Le Mémorial de Haute-Alsace met en valeur cette histoire locale en présentant la vie quotidienne des soldats comme des civils qui ont vécu ce conflit afin d’en comprendre les différents enjeux et leurs points de vue.

Merci à la mairie de Dannemarie pour la visite du mémorial.

Nous remercions le Comité de l’Association de Retraités Peugeot qui nous a offert ce retour sur l’histoire de l’Alsace pendant la première guerre mondiale.

Robert ROSSIN

Photos : René VERMOT DESROCHES

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Rendez-vous pour la prochaine randonnée :

mardi 27 juin à 13 h 15

Circuit : Sentier des Choux – CHEVREMONT (90)

Parking du stade de Chevremont (90340)*

Départ : 13 h 30

Pour 10 km

Dénivelé : 100 m

(*) au 1er rond-point, venant de Perouse, prendre la 1ère à droite (fléchage Stade Chevremont)

Accompagnateur : André JANDOT

27 juin 2023

du 4 au 11 juin 2023

Organisateur : Marcel GRANDI

Un groupe de 58 personnes sous la conduite de Marcel (notre organisateur) est parti de bon matin de Sochaux pour cette nouvelle aventure.

Nos adhérents ont apprécié :

  • le confort du bus grand tourisme (autocars Doux Voyage de Blamont) et son chauffeur « Philippe» personne très charmante et sympa
  • l’investissement des propriétaires et du personnel de l’hôtel Paris Ressort pour nous rendre le séjour agréable
  • l’emplacement de l’hôtel à quelques centaines de mètres de la mer
  • les repas (avec pâtes et poissons tous les jours)
  • la piscine immense et très bien équipée
  • les emplacements réservés sur la longue plage de sable chaud
  • les apéros entre amis
  • les promenades du soir
  • les excursions organisées qui ont vu une belle participation (marché de Bellaria, visite de«l’Azienda Agricola Frantoio Paganelli » avec dégustation d’huile d’olive et vin, visite de Saint Marino et ses monuments, shopping dans le plus grand hypermarché de Romagne à Bellaria)
  • la soirée disc-jockey avec des serveuses déchainées pour notre plaisir
  • sans oublier la disponibilité de Marcel…

Au dire de la majorité des participants, ce séjour a été un vrai succès, malgré un  temps légèrement  maussade qui nous a quand même permis de se baigner tous les jours.

Rendez-vous est pris pour 2024 (avec peut être une surprise).
Les dates retenues et le prix seront communiqués dans Planète Retraités N° 50 d’octobre.

Photos : Michèle GRANDMOUGIN, Guillaume NORCINI

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27 juin 2023

25 mai 2023

Organisatrice : Dominique LAPORTE

Un groupe de 58 personnes sous la conduite de Dominique (notre organisatrice) est parti de Sochaux pour une journée découverte.

Notre première visite a été pour le jardin aquatique d’Acorus sur la commune d’Autoreille en Haute Saône.

Ce jardin créé en 1992 est une invitation à la rencontre de la nature sur un espace d’environ 3 ha. Ce parc au label « jardin remarquable » se situe dans un vallon perché au-dessus du village, en lisière de forêt. Entre jardin à l’anglaise et jardin japonais, il se compose de diverses pièces d’eaux, d’une piscine biologique, de bassins à lotus, de bassins à nénuphars, de rivières et cascades, ainsi que d’étangs bucoliques où fleurissent des plantes aquatiques. Tout autour, prospèrent arbres, arbustes et vivaces, qui entretenus par une taille élégante procurent de nombreuses fenêtres visuelles. C’est un lieu pour les flâneurs où il faut prendre son temps.

Chaque année on peut venir découvrir de nouveaux aménagements et de nombreuses nouveautés végétales. On peut y observer plus de 1 000 espèces végétales, dont plus de 250 plantes aquatiques. D’autre part, plusieurs panneaux permettent de mieux comprendre les richesses de cet espace de nature.

Après le repas pris dans un restaurant de Gy ne pouvant visiter le château fermé par son nouveau propriétaire on s’est dirigé pour une halte à la cave Guillaume à Charcennes.

Depuis 1732, la famille Guillaume produit des vins sur un domaine de 35 ha, sous l’appellation « IGP Vins de Pays de Franche-Comté« , avec une gamme très variée et dont certains ont été médaillés.

Au moyen-âge, les vignobles gylois produisent du vin pour les archevêques de Besançon :
Рen 1732, Fran̤ois Guillaume prend bail de vignes sur la commune de Charcenne
Рen 1895, Albert Guillaume re̤oit un certificat de greffeur pour la qualit̩ de production de ses greffes (deux activit̩s sont maintenant en place : la vigne et la p̩pini̬re de vigne)
– en 1947, Henri Guillaume reprend l’entreprise
– en 1970, il replante les premières vignes de sélection les plus qualitatives…

Visite du jardin très instructive et surprenante qui mérite a être renouvelée.

Photos : Gilles PATOIS et Francis PAROZ

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27 juin 2023

16 mai 2023

Accompagnateur : Robert ROSSIN

Temps : bruine toute la journée, Marche de : 11km, Dénivelé : 250 m

Durée : la journée avec visite guidée du site du Grand Canon

Participants : 23

Les marcheurs sont prêts pour le départ de cette première marche de l’année en Alsace de 11 km et 250 m de dénivelé. Le temps était annoncé et est pluvieux, mais moins qu’à Montbéliard où il tombait des « cordes Â» ce matin.

Nous stationnons devant l’ancienne auberge du Grand Canon, en pleine forêt. Après quelques centaines de mètres, nous découvrons l’étang Bielsbach, un havre de paix pour les pêcheurs et les promeneurs. Une bonne petite côte et nous arrivons à la Vierge de Paul Rath. Encore quelques pas dans la forêt et nous apercevons Luemschwiller, village rural agricole sundgauvien de 750 habitants. Pour éviter au village d’être noyé en cas d’averse importante, il a été créé un bassin d’orage : une digue retient l’eau dans une dépression du terrain. Après l’orage, l’écoulement de l’eau est calibré.

Nous retrouvons un petit bosquet avec bon nombre de terriers de blaireaux quelques trous sont fraichement creusés. Une belle descente nous amène à un endroit déjà visité en 2011 : le cimetière allemand d’Illfurth (guerre 1914-1918). Aménagé à partir de 1920, ce cimetière abrite les corps de près de 2 000 soldats allemands, dont celui d’Albert Mayer, premier militaire allemand tombé au combat la veille de la déclaration de la Première Guerre mondiale (entre-tué avec le caporal Peugeot). En 1975, les croix en bois surmontant les tombes ont été remplacées par des blocs de pierre gravés.

Nous montons encore un peu pour arriver à la chapelle Saint Brice construite en 1586. En ruine, elle est reconstruite en 1765. A cette époque la vue sur la trouée de Belfort était dégagée et permettait à un ermite sur place d’alerter lorsqu’un orage arrivait. Elle est à nouveau détruite en 1791 et reconstruite en 1870, les modifications de 1925 lui donnent son apparence actuelle. Le Britzgyberg et nous voici au point culminant de la randonnée. Nous sommes aussi sur un site archéologique classé aux monuments historiques en 1992, édifice celtique contemporain des tumuli (tombes à épée) environ 600 ans avant JC. La présence de fragments d’amphores phocéennes et de céramiques attiques à figures noires importées depuis Athènes. Nous cheminons en forêt et en zones de cultures jusqu’à l’heure du casse-croûte dans une cabane forestière, il faut dire un peu petite pour notre équipe. Comme d’habitude, le casse-croûte est un moment important, mais notre groupe en a fait un moment tout à fait particulier de partage. Encore un kilomètre et c’est la découverte de l’assise bétonnée du Grand Canon. A Zillisheim, une association vient d’être créée pour nettoyer, protéger et valoriser le site du Grand canon.

Le grand Canon Entre 1915 et 1916, l’armée allemande a installé, dans la forêt de Zillisheim, un canon de marine appelé « Langer Max ». Le tube pesait 80 tonnes et faisait 17 m de long. Il pouvait tirer toutes les 15 minutes un obus de 380 mm, d’une hauteur de 2 m et d’un poids de 750 kg à 1 tonne, sur une distance de 45 km.

De juillet 1915 à août 1915 : construction d’une voie ferrée pour acheminer le matériel et les matériaux au plus près du site. Du 10 septembre 1915 au 8 novembre 1915 : construction d’une voie ferrée étroite pour transférer le tout sur place ; travaux de déboisement, de terrassement pour la cuve et les galeries, coulage de quelques milliers de m3 de béton (estimation 4 000 m3). Presque mille hommes sont présents sur le site et ses environs, pendant cette période. Le 11 décembre 1915 une centaine de soldats les remplacent pour l’installation de l’affut du tube d’environ 120 tonnes, acheminement des munitions et stockage dans les magasins. L’opération sera terminée le 20 décembre 1915, le site est opérationnel le 6 janvier 1916.

Pendant toute cette période, on a du mal à imaginer qu’un tel remue-ménage soit passé inaperçu. Ce canon qui avait pour mission de tirer à grands coups sur Belfort (41 tirs et 4 morts) et Wesserling (3 tirs 10 morts) était en réalité un plan de diversion. La totalité de la population de Zillisheim et villages voisins avait été évacuée fin janvier 1916.

Des mesures importantes de prévention contre l’espionnage : avec notamment de la désinformation, du camouflage avec la construction d’un emplacement factice ont été prises. Le secret de l’installation du canon dans la forêt de l’Altenberg devait être gardé de façon absolue. Tous ces éléments ont contribué à renforcer le mystère autour du « Langer Max Â» de Zillisheim. Il a d’ailleurs disparu tout aussi mystérieusement de la forêt de l’Altenberg en octobre 1916, après avoir tiré 44 obus, pour être réaffecté au nord de la Belgique. Tous les ingrédients sont donc réunis pour alimenter pendant près d’un siècle les légendes les plus folles autour de ce canon que l’on qualifie, souvent et à tort, de « Grosse Bertha Â» qui était un obusier de 43 tonnes canon de 5 m de long calibre 420 mm portée maxi 9 à 17 km utilisé à Verdun.

Un grand merci à l’association de préservation et de valorisation du site du Grand Canon et son président Joseph Goester pour cette visite détaillée fort intéressante : avec projection et explications très précises sur le déploiement des canons allemands depuis Zillisheim à la mer du Nord en Belgique et surtout l’organisation pour alimenter le grand canon en obus.

Photos : René VERMOT DESROCHES

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Rendez-vous pour la prochaine randonnée :

mardi 30 mai 2023 à 13 h15

Circuit du trou de la chouette à Chamesol (25)

– Parking de la mairie à Chamesol (25190)

РD̩part : 13 h 30

– Pour : 12 km

РD̩nivel̩ : 150 m

РDur̩e : 3 h 30

Accompagnatrice : Denise BARBIER

22 mai 2023
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